Lieux communs

Les images que je montre sous le titre « lieux communs » ont été déclenchées par une robe. La petite robe blanche que ma mère portait lors de sa communion solennelle, en 1934 ou 1935.Les images ont suivi pour évoquer un fil (rouge) de vie, un mystère, une conformité.Je me suis prêtée au jeu. Au «je » et au « genre ». Ma fiction n’appelle pas à être prise au pied de la lettre, mais invite à marcher sur un fil.Je suis entrée dans un espace occupé par des signifiants communs, des images, des représentations qui affectent la trame de vie des femmes nées au début du siècle précédent. Des lieux communs. Territorialisés.

J’inclus l’usage d’idées reçues.

Ainsi du fil, qui tisse du lien, qui est aussi évocateur des fils de l’araignée, qui guide dans le Labyrinthe, qui suppose qu’on ne perde pas le fil